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Approche globale : devenir « médecin de la bouche entière » 10 Mai 2010 www.dental-tribune.fr N°12 - Année 2 • 1 € Focus Italie Zoom sur 6 entreprises italiennes Page 8 CFAO Réhabilitation prothétique implantaire... Page 12 Ostéotomes Traitement implantaire de la zone maxillaire postérieure... Page 16 Page 2 : Actualités Page 8 : Focus Italie Page 10 : Protocole Guide MR Page 12 : Réhabilitation prothétique implantaire maxillaire utilisant une prothèse fixe réalisée par CFAO Page 16 : Traitement implantaire de la zone maxillaire postérieure : option thérapeutique par ostéotomes Page 20 : Mise en place implantaire d’une canine supérieure Vousétiezlepremierchirurgien-den- tisteàutiliseretàexploiter« laréha- bilitation buccale complète » et vous vous présentez généralement vous- même comme le « docteur de la bouche ».Qu’est-cequecelasignifie ? En 2004, quand j’écrivais mon livre « Revitalisez votre bouche », j’ai fait une recherche sur Google sur la ré- habilitation buccale complète et… rien n’est apparu ! Ainsi, je suis main- tenant le fier propriétaire de cette marque déposée, qui est la signature de mon procédé. En ce qui concerne le terme « docteur de la bouche », je réponds à l’interrogation suivante : « Est-cequejeveuxêtrel’undecestrois types de chirurgiens-dentistes, pour mes patients : un médecin des dents, un médecin du sourire, ou un “doc- teur de la bouche” ? ». Suite en p. 7DT Interview Sommaire Le Dr David S. Frey exerce à Beverly Hills depuis plus de 20 ans. Sa passion pour l’étude et son goût de l’excellence lui ont permis de créer un cabinet dentaire basé sur l’esthétique et la dentisterie reconstruc- tive. Lors d’une interview ac- cordée à Dental Tribune, il ex- plique son concept « médecin de toute la bouche »… La campagne de communication de la profession bien reçue par le public Un groupement de quotidiens ré- gionaux a commandité une étude sur l’impact dans la presse quoti- dienne régionale (PQR) de la cam- pagne de communication lancée par la profession dentaire, en novembre der- nier. Selon cette étude, réa- lisée par l’institut IFOP, 67 % du lectorat de la PQR, c’est-à-dire 11,8 millions de personnes ont vu ou lu cette campagne, un score atteignant 77 % dans les agglomérations comptant moins de 100 000 habi- tants. Au-delà de ce très bon score d’impact, l’étude de l’IFOP souligne que 51 % des lecteurs ont su at- tribuer la campagne à la profession dentaire, un ré- sultat très largement supérieur (de près de 30 points) aux résultats moyens obtenus par les cam- pagnes de communication lan- cées pour la première fois. Un ré- sultat qui montre surtout que l’univers graphique et le message véhiculé correspondaient de ma- nière efficace à illustrer notre uni- vers professionnel. Mais ce n’est pas tout, les lecteurs ne se sont pas contentés de voir notre campagne, ils l’ont aussi appréciée… Selon l’IFOP, à la question de sa- voir si cette campagne leur a plu, près de trois lecteurs sur quatre ré- pondent par l’affirmative (73 %). S’agissant de cette donnée, on constate que les habitants de villes de moins de 100 000 habitants se sont encore montrés plus sensi- bles (avec 79 % de taux d’agré- ment) et que le taux moyen d’agrément pour une première campagne est dépassé de manière significative (56 %). 57 % des lecteurs interrogés ont répondu positivement à la ques- tion « Diriez-vous que cette cam- pagne vous donne envie de faire confiance aux chirurgiens-den- tistes ? » Ce chiffre montre qu’ils se sentent davantage incités par cette campagne à nous confier leur santé bucco-dentaire et, surtout, que celle-ci a atténué le climat de méfiance que des clichés colpor- tés dans certains médias avaient entretenu ces derniers mois. On se félicitera d’autant plus de ce résul- tat très positif que l’un des enjeux centraux de la campagne visait à dissiper ce sentiment délétère pour la relation de confiance entre patients et praticiens, inhérente à toute relation de soins et néces- saire à l’exercice de l’art dentaire dans de bonnes conditions. La campagne de la profession a remporté un franc succès auprès des lecteurs de la presse : les Français ont, non seulement vu et mémorisé les messages, mais y ont adhéré dans leur grande majorité. COMMUNICATION

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