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Des empreintes fidèles et précises D’excellentes empreintes sont la base de prothèses parfaitement ajustées. La sta- bilité dimensionnelle, la reproduction des détails et la bonne capacité d’étalement même sur une surface humide sont au- tant de facteurs essentiels que possède Flexitime et qui garantissent la fidélité et la précision nécessaires. 10 ans de recul clinique et une exactitude récompensée Issu du Département R&D d’Heraeus, Flexitime a fait l’objet de nombreuses études et a été testé par des organismes indépendants. Il a été noté « Best of the best » en 2005 puis « 2007 Preferred Pro- duct » par The Dental Advisor, et il a été gratifié de 4 étoiles par Reality en 2007. Un nouveau site dédié à Flexitime « Perfect 10 » Depuis le 1er mars, un site interactif est ou- vert pour célébrer cet anniversaire : www.heraeus-flexitime.com Outre une présentation de la gamme, le praticien y trouvera des conseils prodigués grâce à un astucieux guide interactif, ainsi que des documents à télécharger. Et cerise sur le gâteau, chaque mois, jusqu’à fin dé- cembre 2010, en répondant en ligne cor- rectement à trois questions techniques, chaque participant pourra remporter l’un des lots mis en jeu . Heraeus Division Dentaire Villebon - BP 630 91945 Courtabœuf Cedex Tél. : 01 69 18 48 85 • Fax: 01 69 28 78 22 Email: dentaire@heraeus.com ©DR ERLANGEN/LEIPZIG, Allemagne : Les douleurs concernées sont les douleurs dentaires aiguës, comme des cavités ou des infections et les maladies chroniques, comme la douleur d’une dent fantôme après ex- traction. L’équipe du Pr Clemens Forster (univer- sité d’Erlangen-Nurem- berg, en Allemagne) a analysé l’activité céré- brale chez des volon- taires sains, confrontés à une douleur dentaire. En délivrant des impul- sions électriques courtes, à la canine su- périeure gauche ou à la canine inférieure gauche, une sensation douloureuse semblable à celle, ressentie en mor- dant dans un glaçon, a été déclenchée. Pour voir comment le cerveau ré- pond pour faire la diffé- rence entre de la douleur émanant de dents diffé- rentes, les chercheurs ont utilisé l’image- rie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) afin de contrôler des changements d’activité qu’il s’agisse d’une stimulation d’une dent du maxillaire su- périeur ou d’une dent du maxillaire infé- rieur. « Au début, nous nous sommes attendus à une grande différence, mais ce n’était pas le cas », expose le Pr Forster. Beaucoup de régions cérébrales ont ré- pondu aux douleurs supérieures par des signaux de deux branches distinctes d’une fibre appelée le nerf trijumeau. La branche maxillaire (V2) porte des messages noci- ceptifs de la mâchoire supérieure et la branche mandibulaire (V3) porte des mes- sages nociceptifs de la mâchoire infé- rieure. Les chercheurs ont constaté que, dans des régions du cortex cérébral, y compris le cortex somatosensoriel, le cor- tex insulaire, et le cortex cingulaire, tous se sont comportés, de la même façon, pour les deux maux de dents. On sait que ces zones cérébrales jouent des rôles im- portants dans le sys- tème de projection de la douleur, cependant personne n’a montré de différences ma- jeures entre les deux maux de dents. « L’ac- tivation était plus ou moins la même », poursuit le Pr Forster. Ajoutées, leurs expé- riences pourraient avoir manqué des dif- férences subtiles, qui pourraient expliquer comment un peu de douleur dentaire peut être localisée ; les mêmes régions étant actives dans les deux maux de dents, le cerveau – et la personne – ne pouvait pas dire d’où la douleur ve- nait. « Les chirurgiens-dentistes devraient être conscients que les patients ne sont pas toujours capables de localiser la douleur, résume le Pr Forster. Il y a des raisons phy- siologiques et anatomiques à cela. » HONG KONG / Leipzig, Allemagne : les étudiants à l’Institution Hwa Chong, à Singapour, examinent, actuellement, les propriétés adhésives des anatifes, pour leur utilisation en dentisterie. Leur recherche, qui a récemment reçu une récompense d’or à la Foire de la Science et d’In- génierie de Singapour, cette année et, pourrait ouvrir de nouvelles fa- çons de tenir des brackets dentaires ou des ciments dans les cavités dentaires. Les barnaches sont des invertébrés marins qui ont tendance à vivre dans les eaux peu profondes ou de la marée. Ils s’attachent, de manière permanente, au substrat, dur, comme des roches ou des bateaux avec l’aide d’un adhésif à base de protéine, aussi appelé le ciment de ber- nache. Les sociétés de navigation doivent dépenser des millions, chaque année, pour enlever les accumulations massives de ces animaux, qui peuvent ralentir les bateaux et augmenter la consommation de carburant. De par le monde, plus de 1 200 variétés d’anatifes ont été identifiées. Les étudiants ont exploré la biocompatibilité, la vitesse de polymérisation et la résistance acide dans le ciment sécrété par une espèce, appelée Amphibalanus Amphritrite. Ils ont constaté qu’il a non seulement pré- senté l’insolubilité à l’eau et des propriétés mécaniques fortes, mais est aussi sûr pour être utilisé dans la bouche humaine. Les chercheurs ont admis, cependant, que le ciment manque de la résistance à l’exposition, à long terme, aux conditions fortement acides. Son adhésivité a été com- promise quand les substances de qualité acide, comme le jus d’orange et le soda, sont consommées, ont-ils dit. L’équipe, qui est soutenue par l’université nationale de Singapour, tra- vaille, maintenant, sur un nouveau plan expérimental, qui peut mieux simuler des conditions orales chez l’Homme. Si fructueux, le résultat pourrait aussi être avantageux dans d’autres domaines médicaux, comme solidariser des os, en chirurgie. ©PhotoDaisyDaisy Rendu des empreintes Science Le cerveau n’est pas capable de distinguer la douleur entre une maxillaire et une mandibulaire douloureuse. Les résultats d’une nouvelle étude d’imagerie publiée dans Pain, propose d’aider à inventer de meilleurs traitements pour la douleur dentaire aiguë. Le cerveau : incapable de localiser la douleur dentaire Science Des animaux de mer pourraient aider à obturer des cavités dentaires 25 JUIN 2010 - DENTAL TRIBUNE - N°13 5ACTUALITÉS

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